Actifs l'un comme l'autre dans les coursives de l'underground français depuis plusieurs décennies, Marc Hurtado et Pascal Comelade collaborent pour la première fois sur ce disque, né d'une rencontre scénique entre les deux musiciens lors d'un hommage à Alan Vega en 2018.
Sonoris publie en vinyle et en CD, avec un nouveau mastering de Giuseppe Ielasi, quelques œuvres importantes de l'artiste influent et respecté qu'est Steve Roden. Ces titres, qui mêlent composition conceptuelle et musicalité, transcendent les catégories ambient ou « lowercase » trop rapidement appliquées à sa musique, grâce à leur beauté fantomatique.
Sonoris publie en vinyle et en CD, avec un nouveau mastering de Giuseppe Ielasi, quelques œuvres importantes de l'artiste influent et respecté qu'est Steve Roden. Ces titres, qui mêlent composition conceptuelle et musicalité, transcendent les catégories ambient ou « lowercase » trop rapidement appliquées à sa musique, grâce à leur beauté fantomatique.
Une chronique de la ville de Bangalore en Inde, et de son plus ancien jardin – le jardin botanique de Lalbagh – autour duquel l'auteur, l'artiste, historien de l'art et commissaire d'exposition Suresh Jayaram, a grandi.
Le 25e numéro de la revue new-yorkaise explore les intersections entre traditions folk (au sens large) et pratiques musicales expérimentales (numéro dirigé par Sarah Hennies et Anna Roberts-Gevalt, avec Throbbing Gristle, Henry Flynt, Suzanne Kite et Scott Benesiinaabandan, John McCowen, Meredith Monk et Peggy Seeger...).
Le best of 2020 : un ensemble de critiques, d'artistes et de commissaires internationaux dresse le bilan d'une année artistique, à travers les livres, les disques, les films et les expositions qui ont marqué la période.
Spike sur le divan (contributions de Jos de Gruyter & Harald Thys, Qu Chang, Liam Gillick, Bonaventure Soh Bejeng Ndikung, Iman Issa, Sean Monahan, Victoria Campbell, Ingrid Luquet-Gad, Jeppe Ugelvig, Jaime Chu, Bianca Heuser, Nicolette Polek, Adina Glickstein, Artur Klinau...).
Le film de Gilles Coudert, raconté par Charles Berling, met en scène un dialogue entre la création contemporaine et le patrimoine à l'occasion de la manifestation culturelle Traversées organisée à Poitiers dont l'artiste coréenne Kimsooja est l'invitée d'honneur.
Le compositeur Justin Hicks et l'artiste Steffani Jemison revisitent l'histoire de la musique noire à partir des structures mélodiques et rythmiques de l'œuvre de Gil Scott-Heron et Brian Jackson.
La bande-son du film de Lili Reynaud-Dewar tourné à Marfa (un film d'horreur sur la gentrification, la privatisation et la marchandisation de l'art, de la terre, des idées, de la liberté, qui dépeint un groupe de 8 jeunes artistes luttant pour trouver un sens à leur engagement dans le domaine des arts visuels), composée et interprétée par Nicolas Murer.
Livre d'artiste rassemblant le premier enregistrement publié de la musique de la compositrice et artiste intermedia Ash Fure, ainsi qu'une documentation sur ses performances immersives, un entretien, ses notes et diverses contributions.
Une conversation-enquête sur les livres et la lecture, l'éducation et la pédagogie, l'alimentation et les pratiques culinaires, l'agriculture et l'écologie.
La Tranchée Racine devient hebdomadaire pour 42 numéros à l'occasion de l'exposition de Stéphane Blanquet à la Halle Saint Pierre, Paris, de septembre 2020 à janvier 2022 : un projet fou qui entend constituer un vaste panel de l'art brut, du dessin et de l'art contemporains au rythme d'un numéro par semaine pendant plus d'un an, chacun rassemblant 12 images géantes en couleurs sélectionnées par Blanquet.
La Tranchée Racine devient hebdomadaire pour 42 numéros à l'occasion de l'exposition de Stéphane Blanquet à la Halle Saint Pierre, Paris, de septembre 2020 à janvier 2022 : un projet fou qui entend constituer un vaste panel de l'art brut, du dessin et de l'art contemporains au rythme d'un numéro par semaine pendant plus d'un an, chacun rassemblant 12 images géantes en couleurs sélectionnées par Blanquet.
La Tranchée Racine devient hebdomadaire pour 42 numéros à l'occasion de l'exposition de Stéphane Blanquet à la Halle Saint Pierre, Paris, de septembre 2020 à janvier 2022 : un projet fou qui entend constituer un vaste panel de l'art brut, du dessin et de l'art contemporains au rythme d'un numéro par semaine pendant plus d'un an, chacun rassemblant 12 images géantes en couleurs sélectionnées par Blanquet.
La Tranchée Racine devient hebdomadaire pour 42 numéros à l'occasion de l'exposition de Stéphane Blanquet à la Halle Saint Pierre, Paris, de septembre 2020 à janvier 2022 : un projet fou qui entend constituer un vaste panel de l'art brut, du dessin et de l'art contemporains au rythme d'un numéro par semaine pendant plus d'un an, chacun rassemblant 12 images géantes en couleurs sélectionnées par Blanquet.
Autour des thèmes de la coexistence sociale, de l'identité et de la contestation, ce numéro invite les lecteurs à prêter attention aux stéréotypes qui infectent notre regard (au sommaire : Nora Turato, Lana Del Rey, Omer Fast, Charles Gaines, Misha Green, Lauren Halsey, Shaun Leonardo, Oneohtrix Point Never, Michele Rizzo, Cindy Sherman, « Queer Correspondence »...).
Un ensemble de contributions rendant hommage à un pionnier du cinéma africain et anticolonialiste, examinant le travail de Hondo dans son rapport à la production de l'histoire et à la temporalité des récits.
Stefan Römer joue avec des citations de théoriciens de la culture ou de la musique commentant les performances de deux musiciens emblématiques, Syd Barrett et Conrad Schnitzler.
L'adaptation en musique du livre de Joseph Ponthus par Michel Cloup (Diabologum), Pascal Bouaziz (Mendelson, Bruit Noir) et Julien Rufié (Michel Cloup Duo), au confluent de la chanson, de la lecture, du rock et de l'électronique.
Le nouvel opus dans la collection « Mind Travels » constitue
une symbiose pleinement accomplie entre les tonalités industrielles et expérimentales propres à Geins't Naït et les mélodies célestes de Laurent Petitgand, qui affinent et polissent leurs sons pour construire
un récit fascinant, poétique et mélancolique.
Le nouvel opus dans la collection « Mind Travels » constitue
une symbiose pleinement accomplie entre les tonalités industrielles et expérimentales propres à Geins't Naït et les mélodies célestes de Laurent Petitgand, qui affinent et polissent leurs sons pour construire
un récit fascinant, poétique et mélancolique.
Publié à l'occasion des quarante ans de la galerie Chantal Crousel, cet
ouvrage fleuve (plus de 700 pages et 3 kg) revient sur l'histoire de la galerie,
considérée comme un acteur majeur de la scène artistique contemporaine, en
France comme à l’international.