Un village, des habitants, neuf personnages, des enfants, une forêt. Trois saisons : l'hiver, le confinement et le printemps. Bruissons est le récit d'un voyage immobile légèrement perturbé. Une exposition – des images, du sonore. Et un livre.
La chronique d'une sidération, écrite au jour le jour depuis le début du confinement pour en saisir les formes et conséquences, accompagnée d'une contribution textuelle de Julien Coupat et alii.
Les pièces conceptuelles et performatives composées et exécutées par Christina Kubisch entre 1974 et 1984 (certaines avec Fabrizio Plessi, Phill Niblock et Arturo Morfino), pendant ses années en Italie.
A la différence des précédentes éditions de Gerhard Rühm publiées par Tochnit Aleph, centrées sur sa poésie phonétique et ses pièces radiophoniques, les œuvres rassemblées sur ce vinyle sont plus conceptuelles ou même actionnistes, la plupart réalisées entre 1962 et 1987.
Double CD rassemblant cinq pièces essentielles de Marcus Schmickler composées et enegistrées entre 2006 et 2016 : Richters Patterns (en collaboration avec Gerhard Richter, 2016), Kemp Echoes (2013), E-UROPAS (2006), Fokker Bifurcations (2014) et Ata Oto (2016).
Une œuvre composée par Andrea Tippel pendant une quinzaine d'années, entièrement constituée de mots de trois lettres (deux CD dans un boîtier digipak à six volets au format DVD, avec un texte biographique, une chronologie et un texte inédit de Dorothy Iannone).
Six films autour de six expositions de Cécile Bart, plus proches de l'esthétique du film d'artiste que du documentaire, qui introduisent le spectateur dans la proximité des œuvres.
Livre d'artiste : un libretto grand format pour cinq chanteurs, publié à l'occasion du concert de Hassan Khan à l'Albertinum, Collections nationales de Dresde, en décembre 2019, sur le thème du tragique individuel et collectif et de l'effondrement.
La photographe Giovanna Silva explore le patrimoine architectural des Philippines, illustrant les relations entre l'architecture, l'histoire et les exubérances d'un pouvoir longtemps marqué par la corruption et le népotisme.
Charles Pennequin est un poète hors-cadre qui nous conte ici la sidérale agression d'un Martien qui n'a pas encore coupé le cordon. Sur le CD que renferme le livre, il interprète trois fois son texte : deux fois en compagnie du guitariste Jean-François Pauvros, et une autre fois seul, mais au mégaphone.
Le catalogue de l'exposition évolutive de Stéphane Blanquet dans l'ensemble des espaces de la Halle Saint-Pierre : une vaste rétrospective en
1,9 kg d'images (dessins, photographies, tapisseries, sculptures), avec également les œuvres d'artistes invités : Keiichi Tanaami, Bruno Richard, Samplerman, Jan Švankmajer, Dr Karayom, etc.
La Tranchée Racine devient hebdomadaire pour 42 numéros à l'occasion de l'exposition de Stéphane Blanquet à la Halle Saint Pierre, Paris, de septembre 2020 à juillet 2021 : un projet fou qui entend constituer un vaste panel de l'art brut, du dessin et de l'art contemporains au rythme d'un numéro par semaine pendant presque un an, chacun rassemblant 12 images géantes en couleurs sélectionnées par Blanquet.
La Tranchée Racine devient hebdomadaire pour 42 numéros à l'occasion de l'exposition de Stéphane Blanquet à la Halle Saint Pierre, Paris, de septembre 2020 à juillet 2021 : un projet fou qui entend constituer un vaste panel de l'art brut, du dessin et de l'art contemporains au rythme d'un numéro par semaine pendant presque un an, chacun rassemblant 12 images géantes en couleurs sélectionnées par Blanquet.
La Tranchée Racine devient hebdomadaire pour 42 numéros à l'occasion de l'exposition de Stéphane Blanquet à la Halle Saint Pierre, Paris, de septembre 2020 à janvier 2022 : un projet fou qui entend constituer un vaste panel de l'art brut, du dessin et de l'art contemporains au rythme d'un numéro par semaine pendant plus d'un an, chacun rassemblant 12 images géantes en couleurs sélectionnées par Blanquet.
La Tranchée Racine devient hebdomadaire pour 42 numéros à l'occasion de l'exposition de Stéphane Blanquet à la Halle Saint Pierre, Paris, de septembre 2020 à janvier 2022 : un projet fou qui entend constituer un vaste panel de l'art brut, du dessin et de l'art contemporains au rythme d'un numéro par semaine pendant plus d'un an, chacun rassemblant 12 images géantes en couleurs sélectionnées par Blanquet.
Ce numéro de Flash Art inaugure une nouvelle identité graphique, un nouveau format avec un nombre de pages doublé et de nouvelles rubriques, ainsi qu'un calendrier devenant saisonnier. Le numéro explore l'hybridation dynamique des langages de l'art contemporain autour du thème du processus curatorial.
Une anthologie essentielle d'études sur la musique telle qu'elle est jouée et vécue à travers le monde, de la France aux Etats-Unis en passant par l'Afrique du Sud, qui souligne le rôle incontournable de Denis-Constant Martin dans la sociologie des musiques populaires, ses travaux, qui questionnent depuis les années 1970 les musiques enregistrées et médiatisées en dépassant les catégories musicales instituées, frappant par leur contemporanéité.
Le compte-rendu d'une étude
collective menée à Venise en 2019 autour de la question de l'irréversibilité des dommages causés par l'extractivisme et l'accumulation pour les espaces communs et les conditions de vie, dans leur dimension politique, sociale et esthétique.
Cette publication explore les principes clés de la recherche et de la pratique de l'artiste néerlandaise autour du langage, tels que l'utilisation et la modification contemporaines des langues, la fonction des noms dans le langage parlé et la pratique de l'autodénomination.
Cette luxueuse monographie présente une large sélection des œuvres d'Izumi Kato, peintre et sculpteur japonais connu pour ses mystérieuses représentations de figures humaines à l'esthétique primitive, et des vues d'exposition. Elle est accompagnée de quatre textes critiques originaux et d'un poème de l'artiste.
Un ouvrage collectif pour repenser un cosmopolitisme « mineur » et pluriel, débarrassé de son attache capitaliste, à travers
la mise en avant de traditions et pratiques alternatives du vivre-ensemble dans le monde.
Les entretiens de David Graeber (avec Mehdi Belhaj Kacem, Nika Dubrovsky et Assia Turquier-Zauberman) redéfinissent les contours de ce que pourrait être une morale anarchiste aujourd'hui.
Sans Grace est le livre de deux comédiennes, l'une de Genève, l'autre basée à Paris. Il reprend les premiers exercices d'improvisation qu'elles ont menés avant de concevoir le diptyque scénique Sans Grace/Avec Grace, en tournée en Suisse et en Belgique.
La figure est l'interface où la forme et le sens se rencontrent et communiquent, thème que ce livre de l'architecte Dominique Putz propose d'explorer. C'est dans cette optique que cette recherche aborde le décryptage de la forme des bâtiments, des villes et des paysages (nouvelle édition).
Une compilation de photographies de vigies mexicaines, les « casetas de control » ou « casetas de vigilancia » qui régissent la libre circulation dans les quartiers résidentiels de Mexico : véritable répertoire, ce livre révèle une esthétique de l'espace urbain et du fonctionnalisme architectural.
Refusant de laisser à la seule technique le soin de déterminer notre rapport à l'aventure spatiale, le 19e numéro d'Espace(s) a engagé ses contributeurs, et engage à présent ses lecteurs, à se lancer dans le Grand Jeu de l'Espace.
La première publication à fournir une vue d'ensemble des premières activités performatives de Kusama, avec des photos inédites et des œuvres oubliées provenant de collections privées.
Quentin Rollet pose son mini-synthétiseur à bandes et ses saxophones sur des pistes de batterie enregistrées par Kim Giani en 2015, c'est-à-dire dans le monde d'avant le confinement. Un projet plein d'humour et porteur d'énergie, réalisé dans une période d'ennui planétaire.
Les presses du réel – Art contemporain – Monographies
Un projet d'ampleur mené avec vingt artistes et chercheurs internationaux autour de Fordlândia – ville construite à partir de 1928 par Henry Ford en Amazonie afin d'exploiter intensivement l'hévéa nécessaire à la fabrication des pneumatiques, devenu un petit village au milieu d'un patrimoine industriel au statut incertain –, interrogeant l'échec et les conséquences du projet moderne occidental et colonial du fordisme dans le contexte politique, économique et environnemental actuel.
Le nouveau « Biennale-Bouquin » (BB) de Julien Blaine, recueil
de poésies lyriques et épiques, d'expérimentations visuelles et typographiques,
de traductions de gravures préhistoriques, de témoignages sur des performances et déclarations, de carnets de voyages, etc.
En 2020, Julien Blaine, né en 1942, dresse l'inventaire (et fait don) de ce qui reste dans un atelier d'artiste à la fin d'une vie de création.
Le grand dépotoir rassemble essais, lettres et réflexions sur sa vaste entreprise poétique depuis ses débuts, constituant une mise en perspective aussi bien qu'une introduction complète à sa démarche sacrilège.
Marco Boubille fait parler les images de Photomaton qu'il ramasse dans les rues et collectionne, dans un long poème sériel sur le désordre des choses et l'ordre de la vie.
Ce carnet de dessins de l'artiste marseillaise Dominique Cerf ouvre sur un texte introductif de Liliane Giraudon, et s'achève par un manifeste féministe de l'artiste.
Fragments de la poésie totale et photo-poèmes du poète, performeur et artiste franco-chinois, figure emblématique de la résistance artistique et culturelle chinoise. L'édition de tête réunit les deux volumes (Épisode 1 et 2), numérotés de 1 à 20, avec une œuvre originale signée insérée dans chacun d'eux, constituant un dyptique.
Le reste c'est la suite sonde notre présent pour remonter vers le ou les moments de rupture d'une séquence – franchissements, seuils, points de bascule – comme on le fait à la suite d'une expérience traumatique. Avec, pour fils rouges, l'avènement de « l'urgence climatique », la sidération des attentats survenus en France en 2015-2016, et, en ligne de mire, d'une révolution massacrée à l'explosion de la violence « dans un pays en paix », la Syrie, comme un miroir tendu.