Miriam Sturzenegger voit en l'écriture un médium de l'expérimentation et de la recherche ainsi qu'un langage plastique qui la libère des contraintes imposées par l'architecture. Avec Renovieren, l'artiste publie un ensemble de textes au sujet de l'espace-temps considéré en lui-même et en rapport avec ses œuvres.
Création originale audio-visuelle dans un CD / livre d'artiste de Winter Family, No World est composé d'images et de sons du quotidien, de textes collectés sur internet, de chansons, de poèmes, d'entretiens et d'enregistrements bruts réalisés lors d'une série de séjours à Paris et dans les quartiers caribéens de Brooklyn.
Avec Summer Winter East West, Martin Beck décide de traiter de l'exposition comme forme de communication en invoquant conjointement l'histoire moderne de l'exposition et celle des communautés contre-culturelles des années 1960 et 1970.
Débutant sur l'annonce du suicide de la figure principale de cette fiction, l'auteur tisse un récit portant une réflexion sur le langage et l'information.
Une étude novatrice de l'œuvre de l'artiste belge, dont la pratique filmique et photographique profondément originale est livrée tout autant aux ultimes développements techniques actuels qu'aux ombres projetées – aux théâtres d'ombres – fondatrices de l'histoire des arts.
MAMCO - Histoire à l'essai & archives contemporaines
Cinéastes et artistes, historiens et théoriciens de l'art proposent une cartographie inédite de l'essai filmique contemporain en 47 textes critiques. Ici, l'essai n'est pas pensé comme genre mais comme forme hybride entre fiction et documentaire, cinéma et art contemporain.
Sternberg Press - Monographies et livres d'artistes
(derniers exemplaires disponibles !)
Un ensemble de travaux inédits d'Yto Barrada, lauréate de la sixième édition du prix Abraaj Group, ainsi qu'une sélection d'œuvres des autres artistes sélectionnés : Sarnath Banerjee, Setareh Shahbazi et Mounira Al Solh.
La dernière parution de la série e-flux journal chez Sternberg Press est consacrée à la question d'internet (contributions de Julian Assange, Franco “Bifo” Berardi, Diedrich Diederichsen, Joana Hadjithomas & Khalil Joreige, Bruno Latour, Hans Ulrich Obrist, Hito Steyerl...).
Abordant les notions d'altérité et de différence face à la mondialisation, explorant aussi la spécificité d'un lieu et de son histoire, le projet Atopolis convoque les voix d'une vingtaine d'artistes dont le travail respectif témoigne d'une volonté d'interrogation des phénomènes de circulation, de diaspora et de transferts de cultures.
Vingt-trois textes du commissaire et critique d'art consacrés à divers artistes contemporains, aux pratiques artistiques, à la critique d'art, aux expositions et aux activités curatoriales.
Lorsque le geste artistique parvient au plus grand des effets par une économie de moyens : le catalogue de Lulennial, la biennale organisée par Fabiola Iza et Chris Sharp au Lulu, une galerie indépendante de 9m2 à Mexico dont l'économie – au sens de « faire beaucoup avec peu ou parfois rien » – est l'un des principes fondateurs.
Cette luxueuse publication (reliée en simili peau de serpent sous coffret !), qui documente et prolonge l'exposition éponyme au
MAXXI de Rome, rassemble une sélection de textes et de vues d'exposition, ainsi que les notes, les croquis et les maquettes de Huang Yong Ping.
Le nouvel album de la musicienne / plasticienne / écrivaine (un « oratorio concret / post-numérique en cinq actes ») : un disque à la fois conceptuel, surréaliste, poétique et totalement immersif, emprunt des références littéraires et musicales de Félicia Atkinson.
Réalisé au terme d'une tournée ininterrompue de 18 mois, mélangeant sons expérimentaux, psychédéliques, orientaux, et des éléments empruntés à la musique de film d'horreur, avec une dimension théâtrale marquée, le nouvel EP d'Alice Dourlen correspond aussi à un retour à la langue française, employée sur la moitié du disque dans des explorations vocales qui convoquent l'esprit de Nico aussi bien que Catherine Ribeiro.
Un ouvrage photographique retraçant les différents voyages de Carsten Höller en République démocratique du Congo en vue de préparer la réalisation d'un film autour de la culture musicale du « Fara fara » (texte en français).
Chirurgicale décadence : les corps désarticulés des Miss Trauma, figures féminines cauchemardesques qui peuplent l'univers aussi puissamment sadique que graphiquement parfait de The Pit.
Les expérimentations artistiques, pédagogiques, et les réseaux alternatifs nés en Californie à partir de la fin des années 1960, qui ont permis une déconstruction de certains canons hérités d'une tradition et d'une histoire de l'art européennes tout en œuvrant à la remise en cause de l'American way of life.
En conversation avec le journaliste musical allemand Tobias Fischer, la musicienne italo-allemande Alessandra Eramo (Ezramo) parle de son enfance à Tarano, une ville façonnée par le catholicisme et la superstition, la pollution industrielle et l'ancienne tradition de l'élevage de moules. Inclus, un lien vers les fichiers audio de l'installation sonore Se Dio Vuole.
Khvay Samnang parcourt, nu, la forêt et verse sur son corps des bassines de sève d'hévéa : un projet vidéo autour de la question du legs colonial et plus spécifiquement du problème de l'aménagement du territoire et de ses conséquences sur la forêt et la culture cambodgiennes actuelles (dans le cadre du programme « Satellite » organisé par le Jeu de Paume et le CAPC).
Une publication de référence de plus de 1000 pages, reproduisant en fac-similé, in extenso et pour la première fois, les treize carnets de dessins et de collages réalisés entre 1989 et 2014 par Jean-Luc Manz, représentant majeur de l'abstraction géométrique.
Un livre-film. Un livre-chorus. Un livre à lire à plusieurs mains. Une succession d'arrêts sur image : le ciel ou le nuage, l'île ou l'amour. Une kyrielle de deux mille films pour résumer le cinéma. Avant et après.
Monographie de référence, cet ouvrage luxueux, abondamment illustré, avec deux essais et un entretien, constitue une introduction complète à l'univers fantasmagorique de l'artiste canadien, entre dessin, sculpture, musique, installation sonore et film.
L'ensemble des faux cartons d'invitation produits par Hubert Renard depuis le début de sa « carrière », où les lieux d'accueil, les dates, les organisateurs sont tous fictifs, seuls éléments tangibles d'une œuvre qui n'existe que sous la forme de sa documentation.
Une analyse des implications, des enjeux et des spécificités de la pratique de la revue d'artiste, de la fin des années 1950 à aujourd'hui, sur les plans artistique, politique et économique.
Un essai du géographe, orientaliste et philosophe qui expose les fondements orientaux de
sa réflexion sur la mésologie, ou science des milieux, redéfinissant l'être (et le sujet humain) dans sa relation à l'environnement.
Chronique poético-politique, où il est question du racisme ordinaire envers les Rroms. Ou : comment l'Europe se construit autour des populations indésirables…
Texte poétique, prose éclatée où une parole se construit dans les interstices, les fractures. Par ces failles circulent malgré tout les pulsions de vie – malgré une difficulté d'être de ce monde qui, à chaque instant, peut être fatale. Rien n'est pas rien…
Monographie exhaustive : un vaste panorama de la diversité et de l'étendue des recherches entreprises par Kader Attia au cours des quinze dernières années, avec des textes de Noémie Étienne, Kobena Mercer et un entretien approfondi de l'artiste.
Une sélection de textes écrits par des artistes, des critiques, et des curateurs internationaux qui tendent à renouveler les relations entre les centres et les périphéries dans les mondes de l'art contemporain.
Livre d'artiste, rassemblant 150 photographies de lignes d'horizon sur la mer réalisées au cours d'un périple à vélo de 3500 km le long des côtes italiennes.
Réédition du premier album du compositeur polonais, réalisé en 2008 à l'âge de 21 ans. Principalement axées sur les cordes, avec de subtiles touches électroniques, les compositions claires et sans fioritures côtoient un univers profondément marqué par la musique sacrée, à travers la présence de chants liturgiques interprétés par Maja Sieminska et Wesołowski lui-même.
Réédition du premier album du compositeur polonais, réalisé en 2008 à l'âge de 21 ans. Principalement axées sur les cordes, avec de subtiles touches électroniques, les compositions claires et sans fioritures côtoient un univers profondément marqué par la musique sacrée, à travers la présence de chants liturgiques interprétés par Maja Sieminska et Wesołowski lui-même.
Premier ouvrage consacré au travail sculptural et architectural de Monika Sosnowska, figure de proue de la scène artistique polonaise contemporaine, publié à l'occasion de sa plus grande exposition à ce jour.